Ecole de formation

Catégories : Gode ceinture strapon FANTASME Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem Hommes fessés TV trans travesti sissy
il y a 1 an

Je me réveillais dans la cage du donjon.

J’avais très mal dormi. Les pointes de l’anneau que Maitresse m’avait installé sur la queue me réveillait dès que je bandais durant mon sommeil.

De plus, vu comment j’étais harnaché, ça m’empêchait d’avoir un sommeil profond. Maitresse avait été fâché hier soir de mon manque de coopération.

Non seulement, elle m’avait laissé l’anneau à pointe, mais aussi l’écarteur de bouche, le gros plug anal, le plug urètre, le collier, les pinces à seins, les menottes aux chevilles et poignets reliés par des courtes chaines auxquelles on pouvait ajouter les cuissardes, la jupe ultra courte qui ne cache rien, le corset, la perruque. Elle ne m’avait même pas permis de me laver tellement elle était fâchée. J’avais en effet été obligé de tailler une bonne pipe à son valet qui m’avait éjaculé sur le visage par ce que je n’étais pas coopérant. J’en avait partout.

Comment j’en étais arrivé là ?

J’ai la cinquantaine et j’avais décidé de prendre deux mois de vacances spéciales en juillet aout. En effet, en surfant sur le net, je suis tombé sur une Maîtresse italienne qui formait les hommes à la soumission, les femmes à la domination, les couples à une vis de soumission-domination. Son site disait qu’on pouvait tout essayer, il suffisait de demander. De plus, le contrat que nous concluions stipulait que l‘on devait être safe sinon, elle nous ferait enlever et t o r t u r e r par des amis. Ainsi elle garantissait que nous n’attrapions pas de maladie. Les tests de moins de 15 jours devaient être fournis à l’arrivée.

J’ai toujours eu un penchant pour le BDSM et la soumission. C’était donc pour moi l’occasion de satisfaire mes penchants et de parfaire mon éducation. Sauf que tout ne s’est pas passé comme prévu.

J’étais arrivé sur l’ile le samedi et m’était présenté dans l’après -midi à Maîtresse. Nous avions convenu que je viendrai tous les deux jours compte tenu de son planning déjà bien rempli.

Elle était belle, gros seins, beau cul imposant mais pas gros, beaux yeux sombres tout de cuir vêtue. Son valet, la trentaine, blond plutôt mignon, m’avais fait entrer dans la propriété. Il était vêtu d’un pantalon de lin excessivement moulant qui permettait de voir sa grosse et longue queue et d’un marcel faisant voir ses beaux muscles. Tout s’annonçait bien lorsque je commis une erreur au bout d’une semaine. A priori personne ne m’attendait chez moi et donc on ne me chercherait pas avant fin août. Je le lui dis.

Dès le lendemain, je fus encagé et enchaîné. Elle annula ma chambre d’hôtel et récupéra mes affaires qu’elle garderait, n’en aillant plus besoin.

« J’ai besoin » me dit-elle « d’un esclave pour parfaire les formations de mes clients qui devra obéir et faire tout ce que je lui demande. Comme tu as l’air très prometteur comme esclave soumis, j’ai décidé de t’utiliser ainsi pendant tout l’été avec mes clients. Cela fait une semaine qu’elle me prépare en m’éduquant à devenir esclave mais même si j’avoue assez aimer ça, je veux être libre. Maîtresse voit la chose autrement puisque c’est elle qui doit satisfaire ses clients et moi je dois m’exécuter. Donc hier, j’y ai mis de la mauvaise volonté lorsqu’elle m’a féminisé disant que c’était pour me préparer pour mon premier client le lendemain.

Elle m‘avait habillé comme décris ci-dessus et m’avait maquillé outrageusement. J’avais l’air d’une vraie pute et avais du mal à marcher avec des cuissardes à hauts talons. Elle avait estimé que j’y mettais de la mauvaise volonté.

Elle avait fini par faire venir son valet qui m’avait défoncé la bouche et le cul avec sa grosse bite et éjaculé dans ma bouche et sur mon visage. Puis pour finir, il avait uriné dans ma bouche. Maîtresse m’avait obligé à boire. Mais il y en avait trop et ça avait débordé. J’en avais partout.

Maîtresse se pointa à 10 h et dit : « Ma cliente, ta première, arrive à 14 h. Il va falloir te préparer pour la recevoir et satisfaire tous ses désirs. Je compte sur toi espèce de petite salope soumise. Tu as intérêt à la satisfaire car si elle n’est pas contente, tu seras puni. Au fait, je ne t’ai pas dit mais aujourd’hui il n’y aura qu’elle mais demain ce sera deux clients : un homme le matin et un couple l’après-midi. Mon planning est presque complet jusqu’à fin août, tu vas donc avoir du boulot et tu devras me satisfaire. Il en va de ma réputation. Cela faisait longtemps que je cherchais quelqu’un comme toi dont je pourrai me servir à profusion pour améliorer mes formations. Tu vas rester un mois et demi à faire ce job pour moi. Aussi tu as intérêt à y mettre de la bonne volonté si tu ne veux pas souffrir pendant tout ce temps. Et pour commencer, tu vas prendre ton petit déjeuner. Albert soulage toi. »

Son valet (il ne s’appelait pas Albert mais elle aimait bien ça) s’avança, descendis sa braguette, sortit sa grosse queue et me l’enfonça dans la bouche.

« Suce le bien comme je t’ai appris. Mon dieu que tu pus et que tu es sale. On ira te laver après. »

Je refermais bien ma bouche et m’appliquais à le faire jouir rapidement. Sauf qu’il tenait bien la route. Il me retourna, retira le plug et me fourra sa bite dans le cul. Elle entra facilement vu le gros plug que j’avais eu dans le cul toute la nuit. D’habitude, je le sentais passer mais là, j’étais bien ouvert.

Lorsqu’il sentit que ça venait, il revint dans ma bouche et se vida à l’intérieur. Maîtresse m'obligea à tout avaler avec la cravache. Ensuite j’eus droit à un léger petit déjeuner réel.

Puis direction la salle de bain pour prendre une douche. Comme d’habitude, c’est sa servante-esclave qui me doucha. Elle en profita pour me tailler une pipe en m’enfilant ses doigts dans mon cul pour que ça vienne plus vite. J’imagine que c’est Maîtresse qui le lui avait demandé. Même mon anus fut nettoyé à fond en perspective de l’après-midi. Je fus prêt à 13 heures.

Maîtresse vint m’expliquer le programme. Sa cliente voulait un homme à féminiser. Voilà pourquoi hier était un premier test. Tu seras son esclave et feras tout ce qu’elle demande. Je crois qu’en plus, elle a quelques idées à tester sur un homme. C’est une femme qui a été battu. Aujourd’hui, elle a décidé de dominer les hommes.

Elle m’installa sur la croix de Saint-André, la tête face à la croix. Ainsi mes fesses seraient à disposition de sa cliente. « Tu t’appelleras François. Je crois que c’était le prénom de son ex-mari qui la battait ».

Ça ne me disait rien de bon pour moi. A 14 h, elle revint avec sa cliente.

« Voilà Virginie, comme promis votre esclave est là à votre disposition. Il s’appelle François »

Une petite voix répondit « Merci Maitresse. Je peux faire ce que je veux ? » dit-elle timidement.

« Dans la mesure du raisonnable » répondis Maitresse « Je vous arrêterais si ça va trop loin ».

Elle semblait hésitante car Maitresse lui dit : « Allez-y choisissez tout ce que vous voudrez. Il faut bien commencer ».

Je ne voyais rien. Je l’entendis prendre un objet.

« Bon choix pour commencer » dit Maîtresse. Je vais vous accompagner.

Un coup de martinet me fit sursauter. Plus par surprise que de douleur car Virginie n’avait pas tapé fort. Le deuxième fut douloureux. Maîtresse avait frappé. « Il faut y aller plus fort pour qu’il le sente bien. »
Le deuxième coup de Virginie fut plus fort mais toujours supportable. Puis au fur et à mesure elle prit de l’assurance.

L’objet suivant fut un ballstretcher avec un poids. Le moins que l’on puisse dire c’est que ça me tirait les boules vers le bas. Elles parlaient de plus en plus bas. Ainsi je ne comprenais pas ce qu’elles disaient. Moins je comprenais et plus je bandais. C’est ainsi que je me pris quelques coups de martinet pour me calmer. Elles me détachèrent de la Croix, m’attachèrent chevilles et poignets avec des menottes et chaines courtes. Je ne pouvais faire que des petits mouvements.

Elles me dirigèrent vers une table semi-basse. Et m’y installèrent sur le dos, cul au bord. Virginie commença à se lâcher. Elle m’installa d’abord des pinces à sein, puis elle prit un anneau à pointe, sur les conseils de Maîtresse, me le fixa sur la queue et serra les vis à pointe.

Naturellement je me remis à bander. Ça restait supportable. Mais lorsqu’elle prit la roulette à pointe et la fis descendre de ma poitrine jusqu’à ma bite, là je bandais à fond et les pointes sur ma queue me faisait très mal. Plusieurs bonnes fessées me calmèrent quelque peu. Maitresse finit par me mettre au bâillon-os pour que je ne crie pas trop fort. C’est à ce moment que Virginie commença à me mettre ses doigts dans l’anus après avoir enfilé un gant en latex. Le plaisir et la douleur faisait trop bon ménage. Ça fait mal mais c’était jouissif en même temps.

Enfin Virginie arrêta de me rouler sur la queue, ce qui me fit débander un peu et devint supportable. C’est là qu’elle commença à m’enfiler une tige urètre, puis une plus grosse tout en branlant ma queue et mes couilles. Naturellement la douleur revint de plus belle.

Elle prenait gout à la domination. Je la voyais sourire et prendre du plaisir à me faire souffrir. « Tu n’as pas de chance François » me dit-elle me dit-elle avec un sourire méchant « C’est toi qui prends pour mon ex. Qu’est-ce que j’aurai aimé lui faire ça. » Enfin, elle stoppa tout et vint se coller un gros gode-ceinture d’au moins 6 cm. Maîtresse lui confirma que c’était une bonne taille pour moi. Après m’avoir bien lubrifié, elle avança mon gland sur le trou et commença à pousser. On voyait bien qu’elle poussait mais n’osais pas aller trop fort.

Maîtresse vint se positionner derrière elle et lui donna un fort coup de bassin ce qui fit entre le gland dans mon cul. Puis elle commença doucement ses va-et-vient. Elle commençait, elle aussi à jouir de m’enculer pareillement. Maîtresse vint me sucer. La douleur de ma queue et le gode dans le cul, je me mis à jouir comme jamais. Un liquide commençait à sortir de mon gland. C’était à la fois douloureux et trop bon. Lorsqu’elles m’eurent bien défoncé, elles enlevèrent l’anneau à ma bite. Elle en portait les traces. Puis Maîtresse demanda à Virginie « Cela vous ferait-il plaisir que François se fasse enculer par une vraie bite ? » « Oh oui » Dit-elle « Je veux qu’il se fasse prendre comme une vraie chienne, comme une vraie salope. Comme il me faisait ». Maîtresse appela Albert. Lorsqu’il sortit sa grosse queue, Virginie le branla. Son sexe gonfla et devint bien gros et bien dure. Après m’avoir enlevé le bâillon, Il commença par se chauffer dans ma bouche puis me défonça le cul au grand plaisir de Virginie. Ses coups de boutoir ne faisaient pas du bien mais Virginie en redemandait. Donc il ne stoppa pas.

Lorsqu’il sentit qu’il allait jouir, il se retira vint se remettre dans ma bouche me la referma et l’enfonça bien au fond avec de v i o l e n t va-et-vient. Il finit par éjaculer dans ma bouche puis sortit pour m’arroser le visage de sperme. Virginie sautait comme une gamine en disant « Oui, oui, bravo. Elles aiment ça ces chiennes. Tu te rappelles ? comme une bonne petite salope que tu es. » tout en me donnant une bonne fessée. Elle me prenait pour son ex.

C’est à ce moment que je me rendis compte que son short était tout mouillé à son entre-jambe. Maîtresse s’en aperçut aussi.

Elle me détacha, installa Virginie à ma place, lui enleva son short et me donna l’ordre de la nettoyer et de la faire jouir avec ma langue. Je ne me fis pas prier. J’allais enfin me régaler. Virginie avait bon gout et mouillais énormément. Je m’appliquais. Elle finit par jouir et m’envoya sa cyprine d’abord sur mon visage puis Maîtresse colla mon visage bouche ouverte sur sa chatte. Je dus avaler tout le reste.

Je vis sur le visage de Virginie qu’elle était heureuse d’avoir jouit mais aussi d’avoir eu le sentiment de se venger de son ex. Elle finit par dire à Maitresse : « Je ne savais pas où je mettais les pieds. J’avoue avoir été très inquiète de savoir ce que je trouverai chez vous Maitresse, mais c’est au-delà de ce que j’espérais. Merci Maitresse. Vous ne pouvez pas savoir comme je me sens mieux. Comme convenu, je reviens après demain en fin de journée. J’espère que vous m’aurez prévu un bon programme ». Une fois Virginie partit, Maitresse dit « Je suis fier de toi. Tu as assuré pour ton premier jour même si ce n’était pas facile. Demain matin sera différent. Je reçois un homme qui se dit bi et soumis dans l’âme mais qui n’a jamais essayé et qui veut être un bon soumis. Ce sera plus calme pour toi ».

La nuit fut meilleure. Je n’avais gardé que le plug dans le cul, un bâillon gode dans ma bouche, les menottes et les chaîne. Après mon petit déjeuner bite d’Albert, comme d’habitude, j’eus droit à la cyprine de Maitresse puis une bonne douche pour recevoir ce nouveau client.

C’était un homme, la quarantaine, brun plutôt bien gaulé et légèrement bedonnant. Maitresse le fit entrer dans le donjon puis d’une voix très autoritaire lu dit : « A poil. Exécution. » Il se déshabilla tout en me regardant attaché à la croix de Saint-André de face. « A quatre pattes, fissa » dit-elle Elle commença par lui enduire l’anus de lubrifiant en rentrant ses doigts dans son anus puis lui enfila un petit plug. Manifestement il n’avait pas l’habitude de s’enfiler des choses. « Tu vas voir, on va l’élargir. Tu vois le gros là-bas. Eh bien on le fera entrer ». « Non madame » dit-il « ça ne rentrera jamais ».

Maitresse lui donna un grand coup de paddle et dit « D’abord c’est Maitresse. On dit, Oui Maitresse et merci Maitresse. Mais si, tu verras que ça peut entrer voir même des plus gros pour les bons. Nous allons y travailler ».

« Mais ... » dit-il sans pouvoir finir sa phrase car il avait pris un nouveau coup de paddle.

« Il n’y a pas de mais » dit Maitresse « Je t’ai dit, il n’y a que, oui Maitresse et merci Maitresse. Est-ce bien compris ? »

« Oui Maitresse » dit-il tout penaud.

Puis il se prit un nouveau coup de paddle.

« Et ? » dit Maitresse en lui redonnant un coup.

« Merci Maitresse » dit-il.

« Assis » dit Maitresse.

Il s’exécuta et Maitresse lui installa un collier et des pinces à tétons reliés avec des chaines ainsi dès qu’elle tirait sur la laisse, ça tirait aussi les tétons.

Elle l’emmena sur un pouf, ouvrit sa jupe et lui dit « Suce maintenant. Donne-moi du plaisir esclave ». Il essaya de faire du mieux qu’il put mais ce n’était pas ça. Elle vint me détacher, m’amena près de lui et me dit : « Montre lui comment on fait ». Je m’appliquais d’abord à lui lécher les grandes lèvres, puis les petites lèvres. J’entrai ensuite ma langue dans son vagin et terminait par titiller son clito. Je savais qu’elle aimait finir par ça car souvent elle jouissait. Quand je sentis qu’elle allait jouir, j’attrapais son client par les cheveux et collaient sa tête et la mienne le plus près de sa chatte. Elle nous balança toute sa cyprine sur nos visages. Je lui montrais de se lécher les lèvres pour montrer à Maitresse que c’était bon. Puis nos deux langues alternèrent pour nettoyer sa belle chatte.

« Merci mon esclave » me dit-elle « Tu as été efficace et un bon professeur ». Je lui fis un grand sourire tellement j’étais fier. Elle l’installa sur le dos sur la table mi-basse et me dit « suce le pendant que je prépare le matériel. Et toi » lui dit-elle « profites-en. Ça ne va pas durer » Il commença à dire « Non pas un homme ». Elle lui donna une grande baffe en disant « Un soumis fait ce qu’on lui demande. Il n’a pas droit à la parole. C’est sa Maitresse qui prend les décisions. Compris ». Le temps qu’il réponde « Oui Maitresse » elle avait saisi un martinet et lui en donna deux bons coups ce qui le fit crier. Avant qu’il ne jouisse, Maitresse me fit stopper la pipe et me fit mettre à quatre pattes.

Elle s’était mise un petit gode-ceinture pas très large mais tout de même assez long. Elle lui installa une cage de chasteté avec une tige urètre puis elle me redemanda de le sucer avec sa cage. Il se mit tout de suite à bander. La chair de sa bite ne demandait qu’à sortir. Il fit la grimace. Il devait avoir mal. En même temps qu’elle tirait sur la laisse pour tirer sur ses tétons, elle dit en s’approchant de son oreille « C’est bon, hein ». Ça tête n’avait pas l’air de dire la même chose. Elle se redressa et lui enfila son gode dans la bouche bien au fond en lui tenant la tête pour qu’il n’essaie pas de reculer. Puis elle commença ses va-et-vient.

« Ferme ta bouche et suce bien » lui dit Maitresse. « Commence à lui lécher l’anus » me dit Maitresse Quelques minutes plus tard, elle sortit de sa bouche vint me pousser et commença à lubrifier son gros cul. Puis elle l’empala avec son petit gode. Il n’arrêtait pas de gémir. Ça devait être la première fois qu’il se faisait enculer. Maitresse me dit alors « met lui ta bite dans la bouche et ramone-le ». Ce que je me pressais de faire. Pour une fois que ce n’étais pas à moi de subir. Il essaya de tourner la tête mais je la lui attrapais fermement et rentrais ma queue dans sa bouche et commençais des va-et-vient assez forts.

Je lui défonçais la bouche et Maitresse le cul en lui donnant de nombreuses fessées. Il voulait tester la domination féminine, il était servi. J’appris plus tard qu’il avait demandé au départ qu’une séance d’initiation. Finalement il en avait pris deux. A la deuxième séance, je l’ai enculé ainsi qu’Albert. Il a eu l’air d’apprécier. Je finis par éjaculer dans sa bouche et Maitresse lui fit tout avaler. La matinée avait été plus clémente que la veille.

Pour l’après-midi, Maitresse recevait un couple dont la femme souhaitait que son mari devienne son soumis. Quel contraste lorsqu’ils arrivèrent. Elle était assez belle malgré tout. Elle avait les seins refaits pour avoir un 95D et des lèvres charnues bien artificielles. Trop. Si on rajoute son maquillage excessif et sa tenue. Elle avait plutôt l’air d’une pute. Jolie pute mais pute. Lui était très moche.

Je me suis tout de suite dis qu’il devait avoir de l’argent. Maitresse m’avait expliqué qu’ils voulaient tester Maitresse-Soumis mais qu’il n’était pas totalement convaincu. Ils voulaient donc essayer. C’est pourquoi ils étaient venus ici. J’avais plutôt l’impression qu’elle voulait qu’il soit son esclave pour faire par ailleurs ce qu’elle voulait. Mais ce n’étais pas notre problème. A peine étaient-ils entrés dans le donjon, qu’elle lui dit « A poil tout de suite ». Lorsqu’il me vit attaché de face à la croix de Saint-André, je vis la crainte dans ses yeux. Le coup de fouet qu’il se prit sur la cuisse droite lui fit prendre conscience qu’il devait se dépêcher (Maitresse sait très bien manier le fouet. J’en ai déjà fait les frais).

Je vis sa femme faire un léger sourire. « Tu n’es pas habillé comme une maitresse » dit Maitresse « Excuse-moi le terme mais tu es plutôt habillé comme une pute de luxe ». La femme devint rouge de vexation. « Viens avec moi » dit Maitresse pendant qu’elle attachait le mari nu sur une croix de Saint-André. « On va te faire un look de Maitresse. » Puis elle ajouta « Il n’est pas mal monté, dis donc ». Effectivement, au repos, ça avait déjà l’air pas mal. Un peu comme la mienne. Pas forcément très longue mais épaisse. Lorsque les deux femmes revinrent, je crois que ça a fait le même effet à son mari qu’à moi. Vous vous souvenez de Grease à la fin, quand elle arrive les cheveux frisés et tout de cuir vêtue. Et bien là, c’était pareil.

Elle était métamorphosée. Elle faisait vraiment maitresse dominatrice et était très bandante. Son maquillage avait été refait. Elle était vêtue d’un corset seins à l’air avec une veste noire par-dessus qui cachait un peu les seins. Elle avait un pantalon en cuir bien moulant ce qui lui donnait un cul magnifique. Et des cuissardes à hauts talons et bouts pointus. Vous rajoutez les longues boucles d’oreilles, malgré les lèvres trop pulpeuses, elle était vraiment jolie. Son mari se mit d’un seul coup à bander dur. Effectivement il avait une belle queue. Maitresse s’approcha de lui et lui écrasa les couilles à une main. Il fit la grimace mais ne dit rien. Maitresse demanda à sa femme de me détacher puis me fit signe de venir. « Tu as vu son regard quand il t’a regardé » dit-elle. « Il va falloir que tu apprennes à t’habiller et à te maquiller » Puis elle ajouta à mon attention : « Suce-le »

Et je commençais à pomper cette bite déjà bien dure. Il mit longtemps à éjaculer. Naturellement, je pris tout dans la bouche et Maitresse me pria d’avaler. Je l’aurais bien voulu dans le cul celle-là. Je vis sa femme apprécier. Je dus ensuite bien sur le nettoyer. Maitresse fit signe à sa femme de s’approcher, lui donna un martinet et dit : « Vas -y sur la queue pour qu’il débande. C’est peut-être la dernière fois qu’elle est libre » Je vis le visage du mari inquiet lorsqu’il reçut le premier coup pas très fort. Maitresse se saisit du martinet et lui en assena un bon coup ce qui le fit crier.

« Voilà comment on fait » dit Maitresse « A ton tour maintenant » pendant qu’elle allait chercher un bâillon pour le faire taire.

Sa femme lui en donna plusieurs. On voyait qu’elle commençait à apprécier. Lui moins. Lorsqu’il eut débandé, Maitresse alla dans un de ses tiroirs et en sortie une cage de chasteté.

« Non pas ça » essaya de dire son mari.

Mais il n’eut pas son mot à dire.

Maitresse ajouta « tu vois, il lui faut une cage à peine plus grande que sa bite au repos. Ainsi lorsqu’il va bander, sa queue va vouloir sortir et va déborder par tous les trous. Il va sentir alors que son engin veut s’échapper, c’est moi qui te le dis. Maintenant c’est toi qui choisiras pour lui sur ABCPlaisir.com ». Elle passa la clé dans une chaîne et la mit au cou de la femme.

« Attache-le ici » dit maitresse à la femme.

Elle le détacha de la croix, elle saisit un lot de menottes et les installa sur le mari sur les ordres de Maitresse. Elle en passa une à son poignet droit qui était relié à une plus grosse au haut de sa cuisse. Ainsi, il ne pouvait quasiment pas bouger la main. Elle fit pareil à la main gauche. Puis elles l’installèrent sur une balancelle, lui releva d’abord la jambe droite que sa femme attacha en hauteur à sa cheville. Elle fit pareil avec la gauche.

Ainsi, il avait les jambes bien écartées, le cul bien dégagé et la tête libre pour jouer avec. Les deux femmes s’installèrent un gode ceinture. Celui de Maitresse faisait 4 cm, celui de sa femme 5 cm. Maitresse lui enleva sa cage et lui installa un anneau à pointe avant qu’il ne bande. « Vous verrez » dit Maitresse, si votre mari est comme mon esclave, il jouira malgré la douleur dès qu’il va bander. D’autant plus, tant qu’il n’arrivera pas à se contrôler. Regarde comme il bande. Une vraie petite salope. Je crois que nous allons arriver à en faire une vraie chienne. » Puis elle alla chercher une sonde urètre et commença à la lui enfiler ce qui le fit bander immédiatement. La douleur vint tout de suite. Maitresse demanda à la femme de commencer à lubrifier son anus pendant qu’elle le branlait. Puis elle se positionna au niveau de sa bouche et lui entra son gode d’abord bien au fond en appuyant sur sa tête. Puis elle commença ses va-et-vient.

Sa femme prit le relais et branla sa queue et lui donna une bonne fessée. « Espèce de cochon » dit-elle « mais tu vas voir tu vas devenir ma petite chienne, ma petite salope. Nous allons nous occuper de ta bouche et de ton cul. » « Bravo » dit Maitresse « ça commence à rentrer. Vu comme il bande, je crois qu’il aime ça. J’ai vu beaucoup d’homme qui découvrait la soumission et qui aimait ça. Certains ont eu envie de venir esclave de leur femme ou Maitresse ». « Je crois que j’aimerai bien ça » dit-elle. Maitresse sortit de sa bouche, sa femme pris sa place. Maitresse me donna un coup de martinet « pour ne pas que tu m’oublies », dit-elle. Elle lui enfila un doigt, puis deux en faisant des va-et-vient pour bien l’écarter. Puis elle posa le gland du gode à l’embouchure de son anus. Puis elle poussa d’abord doucement gagnant millimètre par millimètre. Puis elle poussa fort d’un coup. Le mari poussa un cri. Mais c’était entré. Elle commença doucement ses aller-retours pour bien l’écarter pour le gode de sa femme.

« C’est bon ? » demanda sa femme « tu as l’air d’une bonne suceuse et en plus tu n’as pas l’air de te plaindre de ce que tu prends dans le cul ma salope. Tu vois mon chéri, je veux que tu deviennes mon soumis. Nous ferons plein de choses ensemble. Regarde comme je mouille. » Effectivement elle dégoulinait. Elle enleva son gode et fit lécher sa chatte toute mouillée à son mari. Une fois propre, elle remit le gode. Maitresse lui fit signe de venir. Elle sortit et sa femme la remplaça sans préliminaire et poussa directement violement dans son cul. Il poussa à nouveau un cri et fit la grimace. Ça n’avait pas dû être agréable pour lui.

Puis Maitresse me demanda de me lever et vint me positionner devant la bouche du mari. Elle attrapa ma queue, me branla un peu puis essaya de l’enfourner dans sa bouche. Il tourna la tête comme il put. Manifestement il ne voulait pas. « Cela vous gêne-il que mon esclave se face sucer par votre mari » demanda Maitresse « Non, au contraire » dit sa femme « Si je veux en faire une bonne petite salope, il faut bien qu’il commence. Mais bien à fond, comme il me fait à moi ». Manifestement il ne voulait pas.

Alors Maitresse alla chercher un bâillon écarteur de bouche le lui installa assez facilement. Il ne devait pas se douter à quoi ça servait. Une fois installé, il ne me restait plus qu’à lui enfiler ma queue à l’intérieur. J’ai pris un malin plaisir à lui défoncer la gueule pendant que sa femme lui défonçait le cul. Elle avait l’air de prendre son pied car elle gémissait.

Maitresse me demanda de sortir de sa bouche, lui enleva le bâillon, monta sur la table face à sa femme et lui fit un bon face-sitting afin de se faire nettoyer. Puis lorsqu’elle fut propre à son gout, elle parla à l’oreille de sa femme qui lui répondit « Oh oui, oh Oui » toute excitée comme une gamine.

Elle enleva son gode, m’attrapa par le bras et me dit « A ton tour, encule-le ». Manifestement ça ne lui plaisait pas mais il ne pouvait pas s’y soustraire, attaché comme il l’était. Je me fis un plaisir de lui défoncer le cul. Pour une fois que ce n’était pas le mien. Sa femme s’installa face à moi pour lui faire un face-sitting. Elle gémissait fortement. Nous avons joui quasiment en même temps. Moi dans son cul et elle dans sa bouche.

« Lèche-moi bien » lui dit-elle « Oui comme ça. C’est trop bon » Puis elle ajouta « Oh oui, ouvre bien la bouche mon chéri » Il l’ouvrit sans se douter que sa femme commençait à larguer son champagne dans sa bouche. Il essaya de régurgiter mais il ne put éviter d’avaler. Elle avait l’air épuisé mais heureuse. « Pourrions-nous revenir dans deux ou trois jours pour parfaire son éducation » demanda-t-elle à Maitresse qui acquiesça bien sûr. Je pensais qu’ils ne reviendraient pas. Je me suis trompé. Ils sont revenus trois jours plus tard. Elle avait changé de look. Elle était jolie plus maitresse que salope.

La journée avait été cool pour moi. Ça avait été comme qui dirait ma journée de repos. Ce n’est que le lendemain en milieu d’après-midi que l’ex-femme battue de la veille revint. Lorsqu’elles entrèrent dans le donjon, elle avait un grand sourire. Maitresse me fit sortir de ma cage, m’installa sur la croix de Saint-André et dit : « Notre cliente a prévu un scénario pour toi en deux phases. La première sera d’essayer quelques sextoys et la deuxième de te féminiser que tu ais l’air d’une belle petite pute comme l’autre jour. Tu t’en souviens ? ».

La première chose qu’elle fit fut de tirer v i o l e m m e n t sur la laisse pour tirer mes tétons. Je ne pus éviter de crier. Elle alla chercher un bâillon gode assez gros « Pour te faire taire, espèce de salop ». Elle me prenait pour son ex-mari par substitution. Puis elle commença à me fouetter avec le martinet. Au début c’était supportable. Au bout d’un moment Maitresse du la calmer. Puis elle alla chercher l’anneau à pointe, me l’enfila et commença à me branler tout en suçant mon gland. Naturellement je ne pus résister. Les vis me serrèrent la queue puis la douleur vint. J’essayais bien de me débattre mais je ne pouvais rien faire. « C’est bon hein » dit-elle avec un grand sourire tout en tirant sur la chaîne et y fixa des poids de 200 grammes sur chaque. Ça faisait très mal mais d’une autre coté, il y avait une certaine jouissance que je ne pouvais expliquer. Après quelques explications de Maitresse, elle enleva le plug que j’avais dans le cul et m‘enfila un plug gonflable que Maitresse m’avait déjà fait tester. J’étais plein, c’est le cas de le dire.

Puis elle reprit le martinet pour à nouveau s’occuper de ma queue ou elle fixa un ballstretcher avec un poids. Elle jouissait. Je vis sa mouille qui coulait le long de ses jambes. J’avais au moins cette satisfaction de l’avoir fait jouir. Elles me laissèrent me reposer une petite heure pendant qu’elle se préparait puis elles revinrent toute pimpantes pour préparer ma féminisation.

Sur les conseils de Maitresse, elle me mit un corset qui me faisait une petite poitrine apparente. Elle m’enfila un porte-jarretelle puis des bas noirs. Puis vint les cuissardes à hauts talons. Naturellement elles ont fait ça devant le miroir pour que je vois la métamorphose. Puis elle me mit une veste ouverte qui cachait un peu les seins mais qui était malgré tout bien visible ajouta une jupe très courte qui m’arrivait au ras du bas du cul. Elle ne montrait rien, à peine le porte-jarretelles, mais était très suggestive. Elle me mit des pinces à tétons reliés entre elles par une fine chaine. Un collier en cuir avec de pointes. Des menottes en cuir non attachés pour bien montrer que j’étais leur soumise. Puis elles me maquillèrent naturellement outrageusement pour que j’ai l’air d’une vraie pute. Vint enfin des longues boucles d’oreilles et la perruque blonde.

Je n’aurais pas pu faire plus pute. Ainsi habiller, on pouvait difficilement savoir que j’étais un homme. Puis Maitresse m’enfila un bon gros plug dans le cul et vérifia que j’avais bien ma cage de chasteté et annonça : « Maintenant que tu es prête, nous allons pouvoir aller diner »

« Comment ça ?» dis-je

« Oui, nous avons réservé une table dans un restaurant au bord de la plage « me dit-elle.

« Non pas ça Maitresse » dis-je

« Mais si tu vas voir. Personne ne te reconnaitra dans cette tenue »

« Ou mais on va me prendre pour une pute » dis-je

« Mais c’est le but » dit Maitresse et la femme ajouta « Je veux que tu ressentes ce que je ressentais lorsque je sortais dans TES tenues sexy ».

« C’est hors de question » dis-je

Alors Maitresse attrapa le fouet et commença à m’assener des coups bien placés.

« Alors » dit Maitresse.

Je ne répondis pas. Après quatre ou cinq coups, je n’ai pu résister et j’ai dû dire « Oui »

« Oui qui ? « Dit-elle avec un coup de fout supplémentaire.

« Oui Maitresse »

On devait faire environ quatre ou cinq cent mètres pour aller au restaurant par la digue. Il y avait déjà du monde et elles marchaient lentement légèrement derrière moi les garces. Je me pris un nombre incalculable de mains aux fesses au grand plaisir des deux femmes qui m’accompagnaient. Il y en a même un qui me dit à l’oreille « Je te sauterai bien salope »

La soirée au restaurant se passa presque bien. Soit, tout le monde me regardait mais au bout d’un moment on n’y fait plus attention. Les femmes ont beaucoup parlé. La cliente a un peu expliqué ce que lui avait fait son mari. Je compris pourquoi elle avait une telle rage. Je me dis qu’heureusement que Maitresse était là pour la retenir. A un moment, j’avais besoin d’aller aux toilettes ma vessie étant pleines. Je demandais ou étaient les toilettes. Le serveur me dit en me reluquant : « Vous sortez dans le jardin, c’est tout au fond ». Je traversais le restaurant ou tout le monde me regardait. Homme comme femme. Le regard des hommes étaient plutôt pervers parfois avec des clins d’œil. Celui des femmes outrées.

J’arrivais devant les toilettes lorsqu’un homme me poussa v i o l e m m e n t à l’intérieur, me coinça dans un coin avec sa main gauche très puissante et dégrafa son pantalon et sortit sa grosse queue. Il m’appuya sur la tête pour que je m’agenouille et lui suce sa bite. Elle était épaisse et devint bien grosse. Lorsque je l’eus bien pompé, il me retourna souleva ma jupe, vit le plug et me l’enleva et dit « Puisque tu aimes ça, je vais te défoncer le cul. Tu vas voir ça va être bon ».

Effectivement il me défonça le cul et éjacula à l’intérieur de moi puis s’en alla. J’urinai, m’essuyais le cul et remis mon plug que je ne pouvais garder à la main. Lorsque je revins à la table, les femmes s’aperçurent que quelques choses s’était passé. Je leur expliquai donc que je venais de me faire v i o l e r par un mec.

La femme répondit avec un sourire : « Voilà ce qui arrive quand on est habillé comme une pute ». Ça avait l’air de lui faire plaisir. Je sus après que c’est ce qui lui était arrivé à cause de son mari qui avait exigé d’elle qu’elle s’habille comme une pute pour aller au restaurant. Nous sommes rentrés au donjon.

La femme à un moment se tourna vers moi et me roula une grosse pelle comme jamais et dit « Merci. Je pense que ça devrait aller mieux maintenant. Enfin j’espère. » Et elle me serra fort dans ses bras. Une fois qu’elle fut partie, Maitresse me dit « Ne t’inquiète pas, l’homme qui t’a soi-disant violé est un ami. Ça faisait partie de la thérapie pour soulager notre cliente et qu’elle tourne la page ». J’étais rassuré et en colère.

Mais la nuit que j’ai passé avec Maitresse a été exceptionnelle. Au final, lorsque fin août arriva, j’ai proposé à Maitresse de revenir l’année prochaine pour les deux mois.

FIN

Un bon programme de ""formation"" (sourire) Merci pour ce partage.
Superbe histoire merci.
Belle histoire bien écrite. Une violente soumission comme on les aime. Bravo à l'auteur.
Merci pour ce récit
Publicité en cours de chargement